Dernièrement, un grand événement a secoué la sphère crypto : Vitalik Buterin (V神) a publiquement soutenu la mise à niveau Atlas de ZKsync. Ce n’est pas qu’un simple compliment, mais un signal fort pour tout le secteur du Layer2.
Pourquoi l’opinion de Vitalik est-elle si importante ?
Pour faire simple, la direction prise par l’écosystème Ethereum dépend en grande partie des technologies soutenues par Vitalik. Cette fois, il met en avant la solution de preuve à divulgation nulle de connaissance (ZK) de ZKsync, ce qui signifie que Ethereum mise officiellement sur la voie de l’extension via les ZK.
Qu’apporte réellement la mise à niveau Atlas ?
Quelques chiffres suffisent à comprendre :
Vitesse des transactions : on passe de quelques TPS à 15 000 TPS, atteignant ainsi le niveau des systèmes centralisés traditionnels
Temps de confirmation : réduit de plusieurs secondes à environ 1 seconde, pour une expérience utilisateur optimale
Partage de liquidité : Layer1 et Layer2 peuvent partager directement leur liquidité, plus besoin de s’embêter avec des ponts cross-chain
En résumé : c’est rapide, sécurisé, et l’intégration à l’écosystème d’actifs Ethereum est transparente. Pour les institutions, c’est exactement ce qu’elles attendaient : profiter de la blockchain avec l’efficacité d’une banque centrale.
Qu’en disent le marché et le prix des tokens ?
Après le soutien de Vitalik, le token ZK a bondi de 50 %. Ce n’est pas de la spéculation de particuliers, mais le signe que les investisseurs institutionnels votent avec leurs capitaux, croyant au potentiel de long terme du projet.
Encore plus intéressant : ZKsync a modifié le modèle du token, passant d’un simple jeton de gouvernance à un actif de capture de valeur. Grâce à un mécanisme de rachat et de brûlage, les détenteurs de tokens bénéficient concrètement de la croissance du réseau. Cette approche séduit particulièrement les investisseurs venus de la finance traditionnelle.
Et côté applications concrètes ?
D’ici le quatrième trimestre, ZKsync aura déjà traité 1,2 milliard de transactions. Ce n’est donc pas qu’un projet conceptuel, il est réellement utilisé. Les institutions financières apprécient la confidentialité offerte par ZK et la compatibilité avec Ethereum : elles peuvent satisfaire aux exigences de conformité tout en profitant de l’ouverture de la DeFi.
Et pour la suite ?
En décembre prochain, la mise à jour Fusaka devrait doubler la capacité pour atteindre 30 000 TPS. À ce moment-là, la position de ZKsync sur le Layer2 sera encore renforcée.
Mais il ne faut pas être trop optimiste : Arbitrum et Optimism ne restent pas les bras croisés, et la concurrence va s’intensifier. Celui qui saura attirer le plus rapidement les clients institutionnels remportera la bataille finale du Layer2.
À retenir : il ne s’agit pas seulement d’une avancée technique, mais d’un tournant où l’écosystème Ethereum se transforme en « infrastructure de niveau institutionnel ». Le soutien de Vitalik équivaut à un feu vert officiel, accélérant l’arrivée des investisseurs institutionnels.
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Pourquoi Vitalik soutient-il fermement ZKsync ? Les luttes institutionnelles derrière la course des Layer 2
Dernièrement, un grand événement a secoué la sphère crypto : Vitalik Buterin (V神) a publiquement soutenu la mise à niveau Atlas de ZKsync. Ce n’est pas qu’un simple compliment, mais un signal fort pour tout le secteur du Layer2.
Pourquoi l’opinion de Vitalik est-elle si importante ?
Pour faire simple, la direction prise par l’écosystème Ethereum dépend en grande partie des technologies soutenues par Vitalik. Cette fois, il met en avant la solution de preuve à divulgation nulle de connaissance (ZK) de ZKsync, ce qui signifie que Ethereum mise officiellement sur la voie de l’extension via les ZK.
Qu’apporte réellement la mise à niveau Atlas ?
Quelques chiffres suffisent à comprendre :
En résumé : c’est rapide, sécurisé, et l’intégration à l’écosystème d’actifs Ethereum est transparente. Pour les institutions, c’est exactement ce qu’elles attendaient : profiter de la blockchain avec l’efficacité d’une banque centrale.
Qu’en disent le marché et le prix des tokens ?
Après le soutien de Vitalik, le token ZK a bondi de 50 %. Ce n’est pas de la spéculation de particuliers, mais le signe que les investisseurs institutionnels votent avec leurs capitaux, croyant au potentiel de long terme du projet.
Encore plus intéressant : ZKsync a modifié le modèle du token, passant d’un simple jeton de gouvernance à un actif de capture de valeur. Grâce à un mécanisme de rachat et de brûlage, les détenteurs de tokens bénéficient concrètement de la croissance du réseau. Cette approche séduit particulièrement les investisseurs venus de la finance traditionnelle.
Et côté applications concrètes ?
D’ici le quatrième trimestre, ZKsync aura déjà traité 1,2 milliard de transactions. Ce n’est donc pas qu’un projet conceptuel, il est réellement utilisé. Les institutions financières apprécient la confidentialité offerte par ZK et la compatibilité avec Ethereum : elles peuvent satisfaire aux exigences de conformité tout en profitant de l’ouverture de la DeFi.
Et pour la suite ?
En décembre prochain, la mise à jour Fusaka devrait doubler la capacité pour atteindre 30 000 TPS. À ce moment-là, la position de ZKsync sur le Layer2 sera encore renforcée.
Mais il ne faut pas être trop optimiste : Arbitrum et Optimism ne restent pas les bras croisés, et la concurrence va s’intensifier. Celui qui saura attirer le plus rapidement les clients institutionnels remportera la bataille finale du Layer2.
À retenir : il ne s’agit pas seulement d’une avancée technique, mais d’un tournant où l’écosystème Ethereum se transforme en « infrastructure de niveau institutionnel ». Le soutien de Vitalik équivaut à un feu vert officiel, accélérant l’arrivée des investisseurs institutionnels.