Selon les scientifiques, ces vers peuvent vivre à Tchernobyl en raison de la particularité de leur espèce / photo UNIANV Les vers microscopiques vivent dans la zone d'exclusion de Tchernobyl, malgré le niveau élevé de rayonnement. Cela indique que ces créatures n'ont pas été affectées par l'accident survenu à la centrale nucléaire de Tchernobyl en 1986. Ceci est écrit par la principale revue scientifique américaine PNAS.
Les scientifiques ont visité la zone d'exclusion de Tchernobyl et collecté des vers microscopiques de l'espèce Oscheius tipulae. Après avoir mené des recherches, les experts ont découvert que le génome de ces vers était resté intact après la catastrophe nucléaire, malgré le niveau élevé de rayonnement.
Une telle analyse est essentielle pour comprendre l’impact d’une catastrophe sur les populations locales. Les chercheurs ont déterminé le génome de 15 vers de Tchernobyl et de cinq individus provenant d'autres parties de la planète.
Le fait que les vers de la zone de Tchernobyl ne présentent aucun signe de dommage indique qu’ils résistent aux conditions extrêmes. Les scientifiques ont souligné qu'une telle résistance pourrait être une caractéristique de l'espèce et non le résultat d'une exposition aux radiations.
En outre, les chercheurs ont relâché 20 vers du laboratoire et testé leur progéniture, mais n'ont trouvé aucune relation entre les niveaux de rayonnement et la résistance de l'ADN aux mutations. Ces résultats suggèrent que les vers de Tchernobyl n'ont pas acquis de nouvelles capacités de réparation de l'ADN en raison de l'exposition aux radiations. Les scientifiques continueront donc d'étudier les facteurs qui affectent leur résilience.
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On sait également qu'au début de l'invasion à grande échelle, les occupants russes se sont emparés de la centrale nucléaire de Tchernobyl, mais n'ont réussi à y tenir que 36 jours. Le 31 mars déjà, ils ont quitté le territoire de Tchernobyl. Dans le même temps, des témoins ont raconté ce qui s'est passé lors de l'occupation de la centrale nucléaire de Tchernobyl.
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À Tchernobyl, les scientifiques ont trouvé des créatures qui n'ont pas été affectées par la catastrophe nucléaire : quelle en est la raison
Les scientifiques ont visité la zone d'exclusion de Tchernobyl et collecté des vers microscopiques de l'espèce Oscheius tipulae. Après avoir mené des recherches, les experts ont découvert que le génome de ces vers était resté intact après la catastrophe nucléaire, malgré le niveau élevé de rayonnement.
Une telle analyse est essentielle pour comprendre l’impact d’une catastrophe sur les populations locales. Les chercheurs ont déterminé le génome de 15 vers de Tchernobyl et de cinq individus provenant d'autres parties de la planète.
Le fait que les vers de la zone de Tchernobyl ne présentent aucun signe de dommage indique qu’ils résistent aux conditions extrêmes. Les scientifiques ont souligné qu'une telle résistance pourrait être une caractéristique de l'espèce et non le résultat d'une exposition aux radiations.
En outre, les chercheurs ont relâché 20 vers du laboratoire et testé leur progéniture, mais n'ont trouvé aucune relation entre les niveaux de rayonnement et la résistance de l'ADN aux mutations. Ces résultats suggèrent que les vers de Tchernobyl n'ont pas acquis de nouvelles capacités de réparation de l'ADN en raison de l'exposition aux radiations. Les scientifiques continueront donc d'étudier les facteurs qui affectent leur résilience.
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