Il y a un projet qui a sécurisé $30 millions auprès de sociétés de capital-risque de premier plan. Ça fait impression, non ? Voici le rebondissement : environ 60 % de l'ensemble de son airdrop ont fini entre les mains d'une seule entité opérant via 14 000 adresses différentes.

Attendez, quoi ?

Cela soulève de sérieuses questions sur la distribution des jetons d'aPriori. Quand vous voyez ce niveau de regroupement d'adresses, vous êtes soit face à une attaque sybil élaborée, soit à une opération de farming coordonnée qui a complètement manipulé la mécanique de l'airdrop.

Dans tous les cas, les chiffres ne mentent pas. Un acteur qui repart avec plus de la moitié de l'allocation ? Ce n'est pas de la décentralisation — c'est de la concentration avec des étapes supplémentaires. La communauté mérite des réponses sur la façon dont cela a pu passer à travers leurs systèmes de détection.