Un directeur des opérations d'une néobanque bien connue axée sur les stablecoins a rencontré un obstacle en essayant d'obtenir la résidence aux Émirats Arabes Unis. Des semaines se sont écoulées sans aucune nouvelle des autorités — pas de mises à jour, pas d'explications, juste une période d'incertitude. La situation a perduré jusqu'à ce que quelqu'un ayant des connexions intervienne pour faire avancer les choses. Finalement, le visa a été délivré.

Ce type d'impasse bureaucratique n'est pas rare pour les dirigeants de crypto naviguant sur les marchés du Moyen-Orient. Les Émirats Arabes Unis se positionnent comme un environnement favorable à la crypto, mais des cas individuels restent souvent bloqués dans la paperasserie. Les projets liés aux stablecoins, malgré leur légitimité croissante, font souvent l'objet d'une surveillance accrue lors des contrôles de conformité. Ces retards mettent en évidence le décalage entre la rhétorique politique et l'exécution concrète sur le terrain. Pour ceux qui évoluent dans cet espace, disposer de réseaux locaux ou de compétences juridiques solides peut faire la différence entre attendre des semaines et pouvoir réellement avancer dans leur travail.