Ils ont jeté nos gens derrière les barreaux. Ils ont poursuivi quiconque ils pouvaient trouver. Ils ont coupé notre accès bancaire sans avertissement. Tout leur manuel était conçu pour étouffer cette industrie de l'intérieur. Et maintenant ? Ils nous désignent du doigt comme si nous étions le problème. Voici la réalité : il n'y a pas de place à la table tant qu'ils ne comprennent pas. Tant qu'ils ne réalisent pas que leurs actions ont de vrais coûts. Des coûts électoraux. Des coûts financiers. Ceux qui font vraiment mal. Lorsqu'ils seront prêts à faire face à cela, peut-être pourrons-nous parler. Pas avant.