Cette fois, c'est juste un "pansement temporaire", le problème n'est pas du tout résolu.

Cet accord ne fait que prolonger temporairement le gouvernement jusqu'au 30 janvier de l'année prochaine. En d'autres termes, ils repoussent simplement le problème.
Les divergences dans le secteur médical, financier et budgétaire persistent. Si des disputes éclatent à nouveau d'ici la fin janvier, le gouvernement pourrait à nouveau être paralysé. Ce que le marché craint le plus, ce n'est pas les mauvaises nouvelles, mais l'incertitude "sans fin".