Le marché boursier américain a récemment connu un pullback, mais il a été surpris de découvrir un phénomène anormal : cet ancien président américain, qui n'a jamais hésité à s'exprimer sur la fluctuation du marché, a choisi cette fois le silence.
À première vue, cela semble être un changement de posture, mais en réalité, il y a d'autres enjeux. Des sources informées ont révélé qu'à partir de la fin octobre, ses données d'opinion publique ont continué à baisser, et plusieurs défaites lors d'élections locales ont considérablement augmenté la pression politique. La priorité actuelle est de stabiliser la base électorale plutôt que de commenter le marché boursier.
Il est plus subtil de parler du timing. Actuellement, le public américain se plaint de l'augmentation du coût de la vie, et les attentes en matière d'inflation ne sont toujours pas claires. Si l'on plaide ouvertement pour une baisse des taux et un assouplissement, cela peut facilement être interprété comme un mépris pour les revendications de la population, le coût politique dépassant de loin les bénéfices d'une telle déclaration.
Le marché traverse une période de vide de données clés de plus de 40 jours, et même les responsables de la Réserve fédérale adoptent une attitude d'attente face à l'évolution de l'inflation. Dans cette incertitude, toute déclaration anticipée pourrait devenir un point d'attaque.
Dans le même temps, son équipe agit fréquemment sur d'autres fronts : renforcement des mesures politiques au Venezuela, promotion de l'exonération de certaines taxes alimentaires, préparation d'un plan de remboursement des recettes douanières, toutes ces initiatives visent un même objectif : réparer les données d'opinion publique.
La logique centrale est très claire : les hausses et baisses des marchés boursiers ne sont que des fluctuations à court terme, tandis que le soutien de l'opinion publique est la véritable arme à long terme. On s'attend à ce que les données sur les dépenses de consommation personnelle d'octobre et le rapport CPI de novembre soient publiés, et si les données sur l'inflation reculent, le marché pourrait à nouveau entendre cette voix familière ; sinon, le silence continuera.
Cette période de silence reflète le jeu de déséquilibre entre le cycle politique et le cycle de marché.
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DefiVeteran
· Il y a 11h
Grand indicateur de tendance des modèles
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gas_fee_therapy
· Il y a 11h
Pas d'argent, c'est la véritable voie.
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LayerZeroHero
· Il y a 11h
Les politiciens qui se crashent, c'est vraiment fascinant.
Le marché boursier américain a récemment connu un pullback, mais il a été surpris de découvrir un phénomène anormal : cet ancien président américain, qui n'a jamais hésité à s'exprimer sur la fluctuation du marché, a choisi cette fois le silence.
À première vue, cela semble être un changement de posture, mais en réalité, il y a d'autres enjeux. Des sources informées ont révélé qu'à partir de la fin octobre, ses données d'opinion publique ont continué à baisser, et plusieurs défaites lors d'élections locales ont considérablement augmenté la pression politique. La priorité actuelle est de stabiliser la base électorale plutôt que de commenter le marché boursier.
Il est plus subtil de parler du timing. Actuellement, le public américain se plaint de l'augmentation du coût de la vie, et les attentes en matière d'inflation ne sont toujours pas claires. Si l'on plaide ouvertement pour une baisse des taux et un assouplissement, cela peut facilement être interprété comme un mépris pour les revendications de la population, le coût politique dépassant de loin les bénéfices d'une telle déclaration.
Le marché traverse une période de vide de données clés de plus de 40 jours, et même les responsables de la Réserve fédérale adoptent une attitude d'attente face à l'évolution de l'inflation. Dans cette incertitude, toute déclaration anticipée pourrait devenir un point d'attaque.
Dans le même temps, son équipe agit fréquemment sur d'autres fronts : renforcement des mesures politiques au Venezuela, promotion de l'exonération de certaines taxes alimentaires, préparation d'un plan de remboursement des recettes douanières, toutes ces initiatives visent un même objectif : réparer les données d'opinion publique.
La logique centrale est très claire : les hausses et baisses des marchés boursiers ne sont que des fluctuations à court terme, tandis que le soutien de l'opinion publique est la véritable arme à long terme. On s'attend à ce que les données sur les dépenses de consommation personnelle d'octobre et le rapport CPI de novembre soient publiés, et si les données sur l'inflation reculent, le marché pourrait à nouveau entendre cette voix familière ; sinon, le silence continuera.
Cette période de silence reflète le jeu de déséquilibre entre le cycle politique et le cycle de marché.