L'ancien président a récemment évoqué une idée qui suscite des conversations dans les cercles technologiques : faire venir des travailleurs étrangers pour aider à former des Américains à la fabrication avancée de semi-conducteurs. Son argument ? Les États-Unis ont besoin d'une expertise extérieure pour améliorer ses capacités de fabrication de puces. C'est une approche pragmatique pour combler le gap de compétences dans une industrie qui est devenue cruciale pour tout, des smartphones aux rigs de minage. Reste à voir si cette approche gagnera en traction, mais elle met en évidence à quel point l'infrastructure technologique moderne est devenue dépendante de la production de puces de pointe.