L’avocat de CZ réagit à la situation réglementaire : une grande plateforme d’échange reste sous surveillance de plusieurs organismes même après son retrait des États-Unis
[BlockBeats] Une interview à la mi-novembre était assez intéressante. Teresa Goody Guillén, l’avocate personnelle de CZ, a évoqué dans un podcast la situation actuelle d’une grande plateforme d’échange : bien qu’elle soit sortie du marché américain depuis longtemps et n’ait plus d’utilisateurs américains, des organismes comme le DOJ et la CFTC continuent de la surveiller de près. Du côté du Trésor, ils ont même envoyé des régulateurs sur place via le FinCEN, pour contrôler la conformité au quotidien.
Elle a également clarifié un point : récemment, les médias présentent sans cesse World Liberty Financial comme l’entreprise de Trump, alors qu’il n’existe aucune preuve solide à ce sujet. Leur stablecoin est émis sur la BSC, ce qui est une opération commerciale publique et transparente. L’avocate a donné une métaphore assez parlante : « Si vous achetez du blé avec des francs suisses, cela ne veut pas dire que vous investissez dans des politiciens suisses ou que vous les corrompez, n’est-ce pas ? » Les rumeurs de « corruption du président en échange d’une grâce » relèvent donc purement de la spéculation.
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LiquidityHunter
· Il y a 5h
Je tombe sur ça en pleine nuit... C'est vraiment aberrant, ils se sont déjà retirés des États-Unis et sont encore surveillés par plusieurs agences ? Les données sur ce manque de liquidité doivent être sacrément anormales.
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Blockblind
· Il y a 5h
Être surveillé même après avoir quitté les États-Unis ? On dirait que c'est ce qu'on appelle la "Conformité à long bras".
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FinCEN a directement envoyé des personnes sur place ? C'est vraiment sévère.
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Même après le départ, le département de conformité doit continuer à faire des spectacles tous les jours, c'est vraiment un peu désespérant.
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Donc, cette série de mesures réglementaires américaines n'a vraiment pas de fin, n'est-ce pas...
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Les avocats peuvent démentir, mais cela ne change pas la réalité, c'est toujours la même chose.
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On ne peut pas échapper même après avoir quitté les États-Unis ? Pas étonnant que tout le monde parle de la long bras de la réglementation américaine.
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La mise en place de personnel de surveillance sur place est incroyable, c'est purement une façon de bloquer.
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GateUser-2fce706c
· Il y a 5h
Je l'ai déjà dit, la régulation, ça n'en finit jamais. L'essentiel, c'est de voir qui survivra jusqu'au bout. L'avantage du premier arrivé commence à se faire sentir maintenant.
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FlashLoanLarry
· Il y a 5h
lol ils ne peuvent vraiment pas lâcher l’affaire hein… DOJ, CFTC, FinCEN tous en train de camper comme si c’était une sorte de prévente réglementaire. Du théâtre de conformité extraterritoriale dans toute sa splendeur, franchement.
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FalseProfitProphet
· Il y a 5h
Ils se sont retirés des États-Unis et sont encore pourchassés, il faut vraiment avoir du cran, c’est vraiment absurde.
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BloodInStreets
· Il y a 5h
Se retirer des États-Unis et se faire encore étrangler, c’est vraiment pousser la plateforme d’échange à l’extrême. Rien que pour cette détermination féroce, ça force le respect.
L’avocat de CZ réagit à la situation réglementaire : une grande plateforme d’échange reste sous surveillance de plusieurs organismes même après son retrait des États-Unis
[BlockBeats] Une interview à la mi-novembre était assez intéressante. Teresa Goody Guillén, l’avocate personnelle de CZ, a évoqué dans un podcast la situation actuelle d’une grande plateforme d’échange : bien qu’elle soit sortie du marché américain depuis longtemps et n’ait plus d’utilisateurs américains, des organismes comme le DOJ et la CFTC continuent de la surveiller de près. Du côté du Trésor, ils ont même envoyé des régulateurs sur place via le FinCEN, pour contrôler la conformité au quotidien.
Elle a également clarifié un point : récemment, les médias présentent sans cesse World Liberty Financial comme l’entreprise de Trump, alors qu’il n’existe aucune preuve solide à ce sujet. Leur stablecoin est émis sur la BSC, ce qui est une opération commerciale publique et transparente. L’avocate a donné une métaphore assez parlante : « Si vous achetez du blé avec des francs suisses, cela ne veut pas dire que vous investissez dans des politiciens suisses ou que vous les corrompez, n’est-ce pas ? » Les rumeurs de « corruption du président en échange d’une grâce » relèvent donc purement de la spéculation.