San Francisco subit une transformation, mais voici le twist : ce n’est pas la mairie qui tient les rênes. Caméras de surveillance, banques alimentaires, voire ce gigantesque sapin de Noël de 25 mètres au centre-ville ? Tout est financé par une poignée de milliardaires de la tech qui ont décidé de jouer les urbanistes.

L’influence de cette coalition s’étend rapidement. Ils financent essentiellement ce que le gouvernement local gérait auparavant, ce qui fait sourciller plus d’un. Quand la richesse privée commence à prendre en charge des services publics — de l’infrastructure de surveillance aux décorations de fêtes — il y a de quoi se demander : qui dirige vraiment la ville ?

L’ironie ? Beaucoup de ces milliardaires ont bâti leur fortune en bouleversant les systèmes traditionnels. Aujourd’hui, ils deviennent discrètement le système lui-même, mais avec une meilleure image et des déductions fiscales à la clé. Bienvenue dans le nouveau San Francisco, où le devoir civique s’accompagne d’un reçu philanthropique.