Une phrase qui circule sur Internet, qui fait vraiment mal :
Les gènes des pauvres aiment prendre soin des autres, aiment aider. Lorsqu'ils rencontrent quelqu'un qui ne peut pas, ils tournent les talons et s'en vont, évitant toute confrontation, de peur d'épuiser leur énergie. La générosité prudente des pauvres. Et chez les riches, c'est une grande générosité mesquine.
Au premier abord, cela semble réaliste, mais en y réfléchissant, c'est toute la vérité.
Le vrai enjeu ici n'est pas la différence de richesse en soi, mais la sagesse de gérer son énergie.
Les pauvres pensent beaucoup aux sentiments, mais ont tendance à manquer. Ayant connu la pénurie, ils comprennent mieux les difficultés des autres. Derrière cette prudence et cette générosité se cachent la bonté et l'attention, mais le problème est — qu'ils s'épuisent très facilement. Craignant de déplaire, craignant que les relations ne se brisent, ils donnent sans cesse, même en se sentant injustes. L'énergie s'écoule ainsi petit à petit dans un puits sans fond, sans jamais revenir.
Les riches pensent surtout aux résultats, ils savent donc conserver. Leur générosité mesquine n'est pas de la avarice, mais de la lucidité. Le temps, l'énergie, l'émotion — ce sont des ressources de premier ordre, qu'il faut investir là où elles peuvent générer des bénéfices. Lorsqu'ils rencontrent des personnes ou des situations qui consomment, ils identifient rapidement et évitent résolument. Ce n'est pas de l'indifférence, c'est une gestion précise de leur compte d'énergie.
Ces deux types de pensée mènent sur deux chemins : l'un dans le tourbillon des relations humaines, épuisant et frustrant. L'autre dans une trajectoire de valeur, en constante croissance, sûre et détendue.
Nous ne pouvons pas forcément devenir riches du jour au lendemain. Mais cette philosophie de "l'austérité" envers notre énergie ? On peut tout à fait l'apprendre dès maintenant.
La véritable maturité se manifeste par une seule chose : apprendre à se fixer des limites d'énergie. Utiliser cette prudence pour protéger ses sentiments intérieurs. Utiliser cette générosité pour investir dans des personnes et des choses qui en valent la peine. C'est ainsi qu'on peut progressivement sortir du piège de l'épuisement.
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AltcoinHunter
· Il y a 6h
Putain, ce n'est pas la loi de conservation de l'énergie... Notre monde des cryptomonnaies fonctionne de la même manière, certains aident les autres à sortir de la crise tous les jours, en se faisant couper la viande, d'autres coupent leurs pertes de manière froide et décisive, et finissent par rire le dernier. Vraiment, apprendre à dire non est la première leçon.
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AirdropBuffet
· Il y a 6h
Putain, c'est moi ça, la sensation d'être vidé par mes amis vampires tous les jours
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WhaleSurfer
· Il y a 6h
C'est simplifié mais pas dénué de sens, mais dire que c'est une question de gènes de pauvreté est un peu excessif, en réalité, il s'agit simplement de différences dans l'instinct de survie formé par la pauvreté ou la richesse.
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GateUser-bd883c58
· Il y a 6h
En résumé, il faut apprendre à dire non, c'est le plus efficace de tous.
Une phrase qui circule sur Internet, qui fait vraiment mal :
Les gènes des pauvres aiment prendre soin des autres, aiment aider. Lorsqu'ils rencontrent quelqu'un qui ne peut pas, ils tournent les talons et s'en vont, évitant toute confrontation, de peur d'épuiser leur énergie. La générosité prudente des pauvres. Et chez les riches, c'est une grande générosité mesquine.
Au premier abord, cela semble réaliste, mais en y réfléchissant, c'est toute la vérité.
Le vrai enjeu ici n'est pas la différence de richesse en soi, mais la sagesse de gérer son énergie.
Les pauvres pensent beaucoup aux sentiments, mais ont tendance à manquer. Ayant connu la pénurie, ils comprennent mieux les difficultés des autres. Derrière cette prudence et cette générosité se cachent la bonté et l'attention, mais le problème est — qu'ils s'épuisent très facilement. Craignant de déplaire, craignant que les relations ne se brisent, ils donnent sans cesse, même en se sentant injustes. L'énergie s'écoule ainsi petit à petit dans un puits sans fond, sans jamais revenir.
Les riches pensent surtout aux résultats, ils savent donc conserver. Leur générosité mesquine n'est pas de la avarice, mais de la lucidité. Le temps, l'énergie, l'émotion — ce sont des ressources de premier ordre, qu'il faut investir là où elles peuvent générer des bénéfices. Lorsqu'ils rencontrent des personnes ou des situations qui consomment, ils identifient rapidement et évitent résolument. Ce n'est pas de l'indifférence, c'est une gestion précise de leur compte d'énergie.
Ces deux types de pensée mènent sur deux chemins : l'un dans le tourbillon des relations humaines, épuisant et frustrant. L'autre dans une trajectoire de valeur, en constante croissance, sûre et détendue.
Nous ne pouvons pas forcément devenir riches du jour au lendemain. Mais cette philosophie de "l'austérité" envers notre énergie ? On peut tout à fait l'apprendre dès maintenant.
La véritable maturité se manifeste par une seule chose : apprendre à se fixer des limites d'énergie. Utiliser cette prudence pour protéger ses sentiments intérieurs. Utiliser cette générosité pour investir dans des personnes et des choses qui en valent la peine. C'est ainsi qu'on peut progressivement sortir du piège de l'épuisement.